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La poporte des étoiles

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La poporte des étoiles
18 octobre 2009

Changement d'adresse

Ca fait un bout de temps que c'est fait, mais certains ont réclamé un message afin que ce soit plus clair :

la poporte est à cette adresse :

lapoporte.kilu.de !

Venez vite nous lire !

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7 novembre 2008

SG-1 : Saison 1, Episode 9

Tadada, voici la critique du super épisode Thor's Hammer. Amusez-vous bien.

Episode 9 : Thor’s Hammer

            Je n’ai pas honte de le dire (enfin quand même si un peu) : j’ai trouvé cet épisode émouvant. Non pas à cause du florilège de mimiques dramatiques dont nous gratifiait l’ex- madame- goa’uld pendant qu’elle racontait comment elle avait réussi à en finir avec les Goa’ulds (notamment en allant aux réunions des Goa’ulds anonymes), mais plutôt à cause de la fin qui était, effectivement, triste. Mais le choc de l’émotion s’est rapidement dissipé lorsque j’ai constaté que la mise hors-service du marteau de Thor interdisait tout retour de Sha’re en tant qu’insipide 1ère femme de Daniel. Hiark. Mais reprenons au début.

            A l’origine de cet épisode, une histoire somme toute plutôt sympathique : à l’arrivée sur une planète inconnue –forcément- Teal’c et O’Neill se retrouvent téléportés par un engin appelé « marteau de Thor » (à peine croyable !) dans un labyrinthe. Ce labyrinthe a une particularité : comme tous les labyrinthes, il n’y a certes qu’une seule sortie, mais cette sortie est fatale aux Goa’ulds. Donc, Teal’c ne pouvait donc pas sortir du labyrinthe, car la mort de son symbiote aurait causé sa propre mort. Profond dilemme.

            Le fait est que cette situation, d’un côté comme de l’autre, n’a pas l’air de soulever de terribles vagues d’angoisse. Alors que le marteau de Thor se met en route, juste avant de téléporter O’Neill et Teal’c (enfin, que Teal’c, mais O’Neill a décidé qu’il serait judicieux de le suivre), émettant ainsi le bruit inquiétant d’un ordinateur en plein démarrage ou celui d’un avion sur le point de se crasher, SG-1 regarde avec une expression d’étonnement poli ce machin bruyant, énonçant des théories qui font froid dans le dos, comme : « on dirait que cette machine accumule une charge… » (Carter), et ne réagit qu’à peine lorsqu’un mystérieux rayon bleu semble les scanner (on s’attendrait presque à voir Daniel essayer d’un air négligeant de chasser le rayon avec une tapette à mouches). Sang-froid et discipline. Bien. Mais lorsque, Teal’c et O’Neill ayant disparus de manière mystérieuse et inquiétante, Carter et Daniel font quelques pas avec un air d’indifférence totale, essayant vaguement de prendre une expression soucieuse, on commence à se dire que le flegmatisme vire à une attitude méditerranéenne de l’ordre de « doucement le matin, pas trop vite l’après-midi ».

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« Ah, ces Aliens, il faut toujours qu’ils inventent des nouvelles techniques de bronzage ! »

(remarquez que cela explique aussi le port d’un bob aussi laid qu’inutile, alors que pendant TOUT l’épisode le ciel est gris et il s’apprête à pleuvoir)

            Et c’est sur ce rythme endiablé que se poursuit l’épisode, dans un montage alterné où nous voyons tour à tour les avancées foudroyantes d’O’Neill et de Teal’c d’une part et de Daniel et de Carter d’autre part. Les premiers, peu perturbés semble-t-il par le fait de se promener dans un labyrinthe souterrain (O’Neill n’a d’ailleurs apparemment même pas remarqué qu’il n’y avait plus de lumière, puisqu’il continue pendant un moment à porter ses lunettes de soleil dans le noir total), écoutent le message de l’hologramme de Thor (enfin, d’un gars en jupe de fourrure et casque à cornes) et le commentent comme si c’était un contretemps fâcheux et non un réel souci. Nous, perdus dans un labyrinthe dont nous ne pouvons manifestement pas ressortir, et où traînent des bestioles qui ont passé 6 heures au maquillage le matin ? Oui, et alors ? C’est pas si grave.

            Dans le même esprit, Carter et Daniel, après avoir longuement discuté progrès humanistes avec une executive woman Viking, passent l’essentiel de l’épisode à regarder le ciel et écouter les oiseaux chanter en compagnie d’une madame qui n’a rien trouvé de mieux, pour vivre en ermite dans les montagnes, que de porter une robe moyenâgeuse avec des manches de 1 mètre de long. Quant à partir en randonnée dans la montagne, pas de souci : elle enfile une cape qui la protège de la pluie qui ne tombe jamais mais garde son encombrante fringue. De toute façon, vu la vitesse à laquelle Daniel et Carter la suivent, elle n’a pas besoin d’aller très vite.

 

(voilà, je vous présente la collection automne-hiver à Vikingland).

            « Lentement, mais sûrement » semble être la devise de cet épisode. En effet, après une leeennnte progression dans la montagne pour les uns et sur la montagne pour les autres, ils finissent par arriver, dans les deux dernières minutes de l’épisode, à la sortie du labyrinthe, pas trop inquiets d’avoir juste mis deux jours pour y parvenir.

            A l’intérieur du labyrinthe, c’est ambiance club-méd. Teal’c semble plus ému (entendre par là qu’il lève un sourcil avec émotion, c’est à dire pareil que d’habitude) par la rencontre du premier des hôtes, Una, qui a l’air un peu arthritique sur les bords (sur tous les bords, pour être précis), que par le fait qu’il ne pourra jamais ressortir vivant du labyrinthe. Au passage, son symbiote nous fait coucou durant dix secondes créatrices d’une nausée irrépressible. O’Neill, peu porté sur de telles sensibleries, se contente de tirer dans le tas (il ne s’agit pas là d’une expression mais effectivement d’un synonyme pour désigner Una) et de pleurnicher après son C4 préféré (du moins intérieurement). En tout cas, à un moment donné, nous remarquerons que notre duo préféré, au détour d’un couloir, parvient à une petite mare un peu douteuse, à propos de laquelle ils dissertent tranquillement, avant de repartir dans l’autre sens, alors que la mare ne faisait pas non plus, semblait-il, des dizaines de mètres de profondeur. Après, on s’étonnera de se perdre facilement dans un labyrinthe, mais si on change d’avis à chaque flaque d’eau, on n’a pas fini. Ceci dit, ça leur évite de se faire arracher la tête par Una dès la dixième minute. Appréciable.

            Pour en venir à l’intense émotion née du visionnage assidu de ces 40 minutes, nous dirons que, oui, franchement, c’est pas sympa de la part d’O’Neill de dire tout sourire (d’accord, j’extrapole un peu) à Daniel qu’il faut qu’il aille détruire le dispositif qui aurait pu lui permettre de sauver sa potiche de femme, tout ça pour les beaux yeux –ou du moins les beaux sourcils- de Teal’c.

            Cependant, au vu d’une scène de l’épisode dans laquelle Daniel se met à raconter sa vie à l’ex-Goa’uld, et à lui dire qu’il « rêve de Sha’re », on a envie de lui dire que 1) on n’a pas envie de le savoir 2) sa femme ne sert vraiment à rien. Et que, pour couronner le tout, même si l’énergie coûte de plus en plus cher, on n’est pas encore prêt à renouer une relation durable avec une femme dont les yeux s’allument de manière intempestive.

Et puis je ne résiste pas à l’envie de vous montrer notre ami Una qui nous gratifie d’une super grimace qui varie de l’ordinaire Teal’cien.

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5 novembre 2008

Déménagement

Bonjour à tous nos fidèles lecteurs !

Pour améliorer la lisibilité, nous avons décidé de migrer vers un site web qui est disponible à cette adresse :

http://stargate.lescigales.org

n'hésitez pas à venir nous rendre visite !

31 octobre 2008

Atlantis : saison 5, épisode 5

Episode 5 : Ghost in the machine

                                                   Woolsey versus Franatlantis7

atlantis10les paris sont ouverts

(enfin vous savez déjà qui gagne)

            Le presque-épisode. Plus exactement, le presque-bon-épisode. On pourrait même aller jusqu’à lui apposer le qualificatif « excellent », ou tout autre mot qui vous semble convenir au sommet de la perfection. Mais comme vous êtes perspicaces, vous avez vu qu’il y a ce « presque ». Et pour prétendre à la perfection, il manquait une qualité supra-essentielle à cet épisode, une presquité, car le sommet de la perfection, c’est Elizabeth Weir, et que, malheureusement, elle n'était pas là. C’est en fait la seule chose que je reproche à l’épisode. Comme vous pouvez le constater, je reste très mesurée dans mes propos. Mais je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’il aurait suffi d’une bourde du stagiaire du bureau du casting pour échanger le nom de l’acteur jouant Woolsey par celui de notre bien-aimée et génialissime Torri Higginson, dont l’absence se faisait d’autant plus cruellement sentir que l’épisode était, somme toute, centré sur son personnage.

            Mais alors comment, me direz-vous, comment l’épisode peut-il être centré sur le Dr. Elizabeth Weir quand son enveloppe charnelle n’a pas répondu à l’appel des sirènes scénaristiques qui lui proposaient un rôle que je qualifierai d’Elizabethweirien en vous laissant deviner ce que j’en pense? Très simple : je vous rappelle que nous parlons des scénaristes de Stargate. 15ème saison de la franchise. Une capacité quasi-miraculeuse à pondre des épisodes dont on préfère tout oublier dès le générique, à moins qu’on ne sache sérieusement pas comment le qualifier par manque d’un mot plus fort que « néant ». Très simple, donc : ils ont repris Fran, la Madame réplicateur (je suis choquée, Word ne connaît pas ce mot alors qu’il me faisaient une tempête des deux L de O’Neill), et on fait comme si elle recelait en elle l’esprit de Weir. Je vous épargnerai cependant la description de mon désarroi lorsque, pendant plus de quinze minutes, l’on entend une voix désincarnée faisant irrésistiblement penser à une reine Wraith un peu perverse dire qu’elle est effectivement le Dr. Weir et qu’elle est contente de revoir les gens d’Atlantis. Entre le personnage qui s’est glorieusement laissé voler son autorité par tout le monde, jusqu’au le plus petit fonctionnaire de l’expédition 3 saisons durant et la voix d’ascenseur (Wraith) de cet épisode, on en n’est plus à dire qu’il y a un fossé, mais plutôt une galaxie sans porte des étoiles. Jamais fan dévolue à Atlantis n’aura connu pareille trahison (sauf peut-être quand les scénaristes ont jugé utile de réveiller Carson alors que Keller était déjà dans l’épisode).

            Au lieu d’une Elizabeth éblouissante de « oui… euh… chuis pas trop d’accord », nous avons un Woolsey déchaîné dont le seul rôle positif consiste à détendre le spectateur réduit à manger son oreiller de rage par une blague qui commence à être éculée (Woolsey enfermé dans un coin de la cité), d’autant qu’il parvient sans problèmes à revenir, alors que visiblement, la seule façon de le faire était d’emprunter le costume de Superman. Autrement, il accumule les décisions idiotes, propres à faire de lui le bouc émissaire numéro 1 de la galaxie de Pégase, et s’y accroche comme un bigorneau chauve à son rocher. Après Elizabeth, qui eût probablement gagné énormément à avoir un mini brin de fermeté dans ses décisions, voici notre ami Woolsey qui, non content de suivre la stratégie la plus fumeuse qu’on puisse imaginer (consistant à dire « non » à tout, sauf à l’idée de tirer la chasse d’eau de la porte des étoiles sur Fran et ses potes, histoire de les évacuer dans un coin perdu de la galaxie), décide de la suivre jusqu’à la mort. On eût d’ailleurs préféré qu’il parvienne à cet extrême. C’est désespérant, parce qu’une fois qu’il est parti, c’est à peine si il reste un imbécile dans la cité pour donner un ordre au Mec de la salle de contrôle (qui a sûrement un nom mais que j’ai baptisé le Mec), ou seulement passer le balai ; mais quand il est là, on a tendance à vouloir lui jeter les masques africains de Weir à la tête (attention, regardez bien les futurs épisodes de la série : je suis prête à parier que les masques vont mystérieusement réapparaître dans une sous-peuplade analphabète d’un coin de la galaxie).

            

            Aucune action, en vérité, dans l’épisode. La moitié se passe en discussions stériles au début desquelles ce boulet de Woolsey avait déjà décidé de faire valoir son autorité. Pff. Ca n’était pas vraiment maintenant qu’un chef d’Atlantis en avait besoin. L’autre moitié, pour le spectateur acquis à n’importe laquelle des plus idiotes causes d’Elizabeth Weir, se passe à pleurnicher sur l’absence de la seule actrice qui avait quelques notions de jeu d’acteur, et du seul personnage qui semblait s’intéresser un tant soit peu au fait d’explorer une nouvelle galaxie.

            

            Pour conclure, je dirai qu’au terme de cet épisode, il est important de faire une rétrospective Weir, et notamment avec l’épisode 2x16, the Long Goodbye, perle rare car seul épisode où vous verrez Weir avoir 1) de l’autorité sur l’équipe 2) une longueur d’avance sur tout le monde 3) un ton de membre de club sado- masochiste (pardon mais j’ai un témoin : Zach. Elle était là. Elle a tout vu –et entendu. Weir a des instincts de dominatrice refoulés. Très loin. Mais des instincts quand même. Il sera peut-être intéressant de revenir sur cet épisode, hihi).

31 octobre 2008

Kaamelott

           

Kaamelott - Saison 3 Episode 78 : Stargate II - wideo
Auteur : Alexandre Astier Réalisé par : Alexandre Astier Avec : Anne Girouard , Alexandre Astier, Nicolas Gabion, Lionel Astier, Thomas Cousseau © Calt - Dies Iræ – Shortcom

Mots-clés : sketch m6 humour drôle kaamelott amusant 78 alexandre saison épisode astier

 

Video de kaamelott

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29 octobre 2008

Stargate : que du sérieux!

29 octobre 2008

Conventions

Bonjour les amis !

Eh oui ! Nous vous donnons rendez-vous soit :

- à Bedford (ça craint comme ville il paraît !) avec Joe Flaningan (mdr!), Jason Momoa (avec ou sans perruque??), Alexis Cruz (avec ou sans dreads? notre couple va-t-il s'afficher ?), Colin Cunningham et Peter Williams ! Du beau monde ! C'est du 20 au 22 février.

soit

- à Paris ! avec on sait pas qui mais plein de quizz, des concours etc... et tout ça en langue française ! A nous de voir. On peut peut être faire les deux nié!!

Dans tous les cas, venez avec votre tee-shirt "La Poporte des Etoiles" !! (il faudrait qu'on en crée un :mrgreen:) 

27 octobre 2008

SG-1 : Saison 1, Episode 8

Episode 8 : The Brief Candle

   

         Un épisode qui démarre fort ! L’image est à peine apparue que la musique éclate aux oreilles dans un pompeux concert de cuivres à la mélodie toute stargatienne. En une minute, tout nous est exposé, à savoir : un monsieur habillé de façon ridicule parle à une statue dans un temple, lui demandant de l’aide, lorsque nos quatre héros débarquent nonchalamment par la porte des étoiles dans ledit temple. Le monsieur constate, un peu vexé, que ce ne sont manifestement pas des Dieux qui ont débarqué, et leur présente sa femme, habillée de manière encore plus ridicule (avec une couronne de fleurs sur la tête !) qui a quelques problèmes à accoucher derrière une colonne. Et non, Carter n’y connaît rien. Tada ! Générique.

            Dans cet épisode, nous découvrons une nouvelle facette d’O’Neill. Outre le fait qu’il soit à ce point terrorisé par la perspective de prendre un coup de soleil qu’il garde sur la tête son horrible bob militaire alors qu’ils sont à l’intérieur d’un temple, vous aurez le plaisir de le voir à tous les stades de la vieillesse. Echoué dans un peuple où l’ont ne vit que 100 jours et où, donc, l’on vieillit en proportion, il prend 30 ans en deux heures, là où la jolie nymphette qui se croit mariée avec lui ne prend pas une ride en trois semaines. Stage d’expressivité chez Teal’c, peut-être. Mais globalement, ce peuple ne perd pas son temps : entre deux fêtes où l’on danse lascivement debout sur la margelle d’une fontaine, on a le temps de se révolter contre le Dieu que l’on vénère depuis 4000 ans. Quand on vous dit que tout va très vite, ça n’est pas une blague ! En trente secondes, poussés par un O’Neill en manque cruel d’occupations, messieurs et mesdames flower-power jettent à bas la statue pour juste après chercher en vain un paratonnerre susceptible de les protéger de la foudre divine.

C’est terrible à dire, mais les scénaristes semblent se plairent à accabler O’Neill de tous les virus potentiellement attrapables de la galaxie. A-t-on vraiment besoin de le voir à tous les stades d’évolution de l’espèce et de l’individu, ou à tous les degrés de décrépitude ? Toujours est-il que ça a donné du travail aux maquilleurs et aux perruquiers qui s’éclataient déjà avec les choucroutes fleuries de la peuplade pseudo-grecque à propos de laquelle Daniel énonce encore une hypothèse qu’il a sûrement inventée sur le moment, content de pouvoir caser une idée aussi révolutionnaire qu’à côté de la plaque. On admirera au passage la collaboration entre Daniel et Teal’c qui tentent tous deux de déchiffrer un mini code Goa’uld. Au bout de deux semaines de travail intensif, et après avoir buté inlassablement sur le même passage obscur, Daniel et Teal’c annoncent tout fièrement à un O’Neill tout ratatiné qu’ils s’étaient aperçus qu’il ne s’agissait pas lettres mais de chiffres ! D’un coup, c’était vachement plus facile à déchiffrer. C’est là qu’on touche du doigt tout le désespoir d’O’Neill.

            Dans cet épisode, on retrouve également notre amie le docteur qui semble être seule à diriger l’infirmerie. Pas étonnant que des épidémies de virus extraterrestres ne cessent de ravager le SGC.

            Pour conclure, je vais revenir sur le moment le plus rigolo de l’épisode, c’est à dire le début. Après le pré-générique qui s’avère être fort amusant avec la madame qui veut absolument accoucher derrière sa colonne, prétextant que le village (à 200 mètres) est trop loin pour qu’on puisse aller chercher de l’aide, elle se retrouve avec Daniel pour sage-femme. Bien discipliné, comme toute personne regardant un minimum les séries médicales qui fleurissent sur nos écrans, Daniel a appris à dire la seule chose qui soit utile pour un accouchement : « poussez ». Et Carter de s’écrier : « Mais où avez-vous donc appris cela ? ». S’il n’y a que ça, je peux le faire aussi, pas besoin d’aller faire des fouilles au Yucatan comme Daniel pour apprendre sur le tas. Au passage, j’espère qu’il ne va pas recommencer tous les jours, sinon il va y avoir des tonnes de bébés prénommés Daniel dans la galaxie.

            

            Et j’allais oublier le plus important. Cet épisode nous présente un cas de folie simultanée et conjuguée, de la part des scénaristes et des costumiers. En effet, pour séduire O’Neill, notre amie Kynthia-je-serai-jeune-et-bête-éternellement lui fait profiter d’une danse du ventre ! Admirez plutôt :

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(position 1 de la danse du ventre)

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(position 2)

Au fait, je vous présente bébé Daniel et ses parents !

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22 octobre 2008

Le jeu des couples

Qui voyez-vous avec qui ? Résultats issus d'un sondage auprès de 8376 fans européens, américains et canadiens.

STARGATE ATLANTIS


shepQui voyez-vous avec Sheppard ?

Todd (80%), un miroir (15%), McKay (5%)

todd


mckayQui voyez-vous avec McKay ?

Carson (70%), son ego (15%), un ordinateur (15%)

carson


teylaQui voyez-vous avec Teyla ?

Weir (91%), ben, Kanaan... (8%), Keller (1%)

weir



rononQui voyez-vous avec Ronon ?

Kolya (61%), un punching-ball (37%), un shampoing (2%)

kolya


fordQui voyez-vous avec Ford ?

Michael(70%), c'est qui ? (27%), Taylor (3%)

michael


beckettQui voyez-vous avec Beckett ?

Keller (99,9%), un sandwich (O,O5%), une salade (O,O5%)

keller


weirQui voyez-vous avec Weir ?

Teyla (72%), son chien (17%), son tee-shirt (11%)teyla

Evan_LorneQui voyez-vous avec Lorne ?

Zelenka (83%), le gars de la salle de contrôle (11%), un tube de peinture (6%)

zelenka




STARGATE SG1


carterQui voyez-vous avec Carter ?

Thor (97%), un coiffeur (2%), un livre de maths (1%)

hor


danielQui voyez-vous avec Daniel ?

O'Neill (75%), une femme par planète (25%), une momie (5%)

jack


tealcQui voyez-vous avec Teal'c ?

un sourcil (91%), Bra'tac (8%), un tatouage (1%)

sourcil


mitchellQui voyez-vous avec Mitchell ?

Landry (51%), Hammond (48%), Homer Simpson (1%)

landry


valaQui voyez-vous avec Vala ?

Silers (60%), un coffre sur pattes plein d'or (30%), Ba'al (10%)

Siler


adria

Qui voyez-vous avec Adria ?

Apophis (84%), l'univers (12%), Dieu (8%)

apophis


ON MIXE LE TOUT


ronon2Qui voyez-vous avec Ronon ?

Skaara (51%), je le vois pas, je suis mort (49%)

skara


jonasQui voyez-vous avec Jonas ?

Ford (79%), un oliphant (20%), sa conscience(1%)

ford

oneillQui voyez-vous avec O'Neill ?

Weir (94%), Oberoth (4%), un paquet de C4 (2%)

weir02






21 octobre 2008

SG-1 : Saison 1, Episode 6

Synopsis de l'épisode 6 : Sg-1 découvre une forme de vie cristalline possédant la faculté de prendre l'apparence des organismes avec laquelle elle desire communiquer.

Episode 6 : Cold Lazarus

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La première remarque qui me vient quant à cet épisode est que le scénario ressemble étrangement à celui de l’épisode 4 de la saison 4 d’Atlantis : Doppelgänger. Remplacez la forêt sombre par un désert fait de tonnes de semoule jaune vif, les cristaux blancs par des cristaux bleus et Sheppard par O’Neil et vous avez le scénario de Cold Lazarus. Bien sûr, je ne cherche pas à dire que SG-1 a copié Atlantis, je souligne juste la ressemblance délirante entre ces deux épisodes. Un changement, cependant : le cristal de SG-1 est sympa, au contraire de celui d’Atlantis qui donne à Sheppard un double malveillant (conférant ainsi de la profondeur au personnage, choc dont l’acteur ne s’est probablement jamais remis, ce qui explique sans doute pourquoi il s’est mis à encore plus mal jouer qu’avant dans la saison 4). Mais dans SG-1, le cristal donne aussi un double à O’Neil. Qui est certes gentil mais fait un peu neuneu sur les bords. Dans la famille « O’Neil se comporte étrangement », après « O’Neil retourne à l’âge de pierre », je demande « O’Neil regarde ses photos de famille avec la tête de l’étudiant en L à qui on a demandé de résoudre des équations différentielles ». Mais il faut vous y habituer, car O’Neil fait cette tête durant tout l’épisode, demandant à sa femme « salut chérie, t’aurai pas vu notre gosse, j’arrive pas à le retrouver ». Tout à la délicatesse de la demande, il manque de grands moments de copiage d’Abyss avec Carter et Daniel qui causent à un cristal qui, lui, s’éclate à prendre leur forme. Malheureusement, Amanda Tapping n’est pas Elizabeth Mastrantonio et Michael Shanks n’est pas vraiment Ed Harris non plus. Nous avons donc droit à de longues minutes d’interrogations inutiles « tiens, mais ce cristal parle. Mais où est donc passé O’Neil qui semble d’ailleurs avoir un comportement étrange depuis qu’on l’a ramené de la planète aux cristaux… », pour arriver à une conclusion qui fait doucement rigoler de désespoir : « Tiens, mais la conduite d’O’Neil aurait-elle un rapport avec les cristaux ? ». Tadada ! Admirez l’équipe SG-1 au travail. Ca se voit qu’elle avait perdu son meilleur élément, même si O’Neil n’aurait rien trouvé de mieux que « faites tout exploser, qu’on en finisse ».
Le fait est que l’épisode n’a qu’un unique intérêt scénaristique pour l’ensemble de la série : le développement du personnage d’O’Neil, par un retour sur son passé. De ce fait, sa confrontation avec sa femme est assez intéressante. Ce que je trouve en revanche complètement à côté de la plaque, c’est qu’à la fin, O’Neil revienne voir sa femme en tenant le cristal, qui a pris la forme de leur fils décédé, par la main. Pour l’accroc à Atlantis que je suis, je me suis sentie assaillie de questions du style « mais comment il va faire pour expliquer à ses supérieurs qu’il a quasiment dévoilé un truc top-secret ? ». Mais aucune question de ce genre n’intervient, pas plus que de questions comme « Pourquoi notre fils est-il subitement vivant ? » de la part de la femme d’O’Neil. A sa place, j’aurai eu quelque sueurs froides. Mais ne nous en tenons pas à la cohérence, ça serait trop demander.
Je ne vais pas m’attarder sur cet épisode, qui nous permet au moins de nous débarrasser de ce boulet qu’est le passé d’O’Neil (on a suffisamment de problèmes avec la moitié de la galaxie). L’autre point notable de l’épisode est le trait d’humour apporté par Teal’c qui, désireux de sortir aider O’Neil, et tombant sur les infos à la télé ou je sais plus quoi, décide d’embarquer son arme Jaffa. A la question de Carter qui lui demande pourquoi il embarque ça, il répond : « J’ai vu votre monde. J’en aurai besoin ». Si la leçon de morale est un peu lourdingue, le ton assuré de Teal’c- je-pars-dans-la-jungle-chasser-le-lion est mortel. Enfin moi ça m’a fait rigoler. Bref.

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